Cettunpeu la vue que j'ai d'chémoi...alors touchée en plein coeur urbain...je dis çà...en passant... Pleins de bises par la "fenêtre" s'envolent en mille éclats de vers...
et d'autre part "faire dérailler le train-train" j'aime bien, je pourrais même aller jusqu'à beaucoup si ce n'était pas contre mes principes moraux (d'un autre âge je l'accorde).
\V/ versatile et velléitaire, à la volonté veule et vilaine ! Mais voulez-vous vraiment revoir la vie ? À vilipender ainsi vos vérités, vous ne viendrez à bout que de vous-même // S’envelopper de vacuité. Polyvalence larvaire sans révolte ni violence. Victoire et vile avance de vos vœux... Saviez-vous votre avatar vibrant tel un vilebrequin baveux ?
// Dans quelle voie d’ici pourrais-je me vautrer ?
Bien sûr le vice vrille toute valable envie de vivre, et m’envoie vaquer dans de vastes vallées pleines de vouivres dont les voix s’évadent dans la volupté // Les vasques s’emplissent de vins qui mènent à vau-l’eau. Et le veau d’or vomi du Wahlalah récidive quoiqu’un peu vieux, se convulsant de vanité sous les yeux de ses victimes // Et vous voilà ! Vent voleur de vengeance, votre voix se voudrait avocat des divinités. Je verse dans votre vaine valse de vagues souvenirs. Je découvre à ravir vos vertes divisions... // Je vide avidement mon verre d’un trait ; avant de me resservir, vaseux...
Cettunpeu la vue que j'ai d'chémoi...alors touchée en plein coeur urbain...je dis çà...en passant...
RépondreSupprimerPleins de bises par la "fenêtre" s'envolent en mille éclats de vers...
E.H.
alors je recommence:
RépondreSupprimermoi, d'une part le "1 commentaires" me chifonne;
et d'autre part "faire dérailler le train-train" j'aime bien, je pourrais même aller jusqu'à beaucoup si ce n'était pas contre mes principes moraux (d'un autre âge je l'accorde).
Mlle Bob