Amertume d’un âge aux vues concentriques de ses failles… Négligemment j’inspire Et l’arbre m’avait reconnu - Lui Comme séparé de ses racines Mais s’élevant d’un même sol
Trop d'arbres de forêt habitent mon vieux regard, et qui savent faire d'un coup ce que je ne sais qu'avec science : donner l'apparence du simple en ayant fait compliqué...
\V/ versatile et velléitaire, à la volonté veule et vilaine ! Mais voulez-vous vraiment revoir la vie ? À vilipender ainsi vos vérités, vous ne viendrez à bout que de vous-même // S’envelopper de vacuité. Polyvalence larvaire sans révolte ni violence. Victoire et vile avance de vos vœux... Saviez-vous votre avatar vibrant tel un vilebrequin baveux ?
// Dans quelle voie d’ici pourrais-je me vautrer ?
Bien sûr le vice vrille toute valable envie de vivre, et m’envoie vaquer dans de vastes vallées pleines de vouivres dont les voix s’évadent dans la volupté // Les vasques s’emplissent de vins qui mènent à vau-l’eau. Et le veau d’or vomi du Wahlalah récidive quoiqu’un peu vieux, se convulsant de vanité sous les yeux de ses victimes // Et vous voilà ! Vent voleur de vengeance, votre voix se voudrait avocat des divinités. Je verse dans votre vaine valse de vagues souvenirs. Je découvre à ravir vos vertes divisions... // Je vide avidement mon verre d’un trait ; avant de me resservir, vaseux...
Trop d'arbres de forêt habitent mon vieux regard, et qui savent faire d'un coup ce que je ne sais qu'avec science : donner l'apparence du simple en ayant fait compliqué...
RépondreSupprimerJoli, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerMerci