Je vais pâlir un jour
Et refermer l’objet de mes lectures -
Devrai-je dire le noir de mes yeux face au monde ?
-----En attendant
La musique emplira ces journées
Comme l’eau les gours d’un torrent
Comme le soleil mûrissant le grenat des raisins
J’essaierai d’être simplement au monde
Et d’ouvrir tous mes sens à sa beauté absurde
J’apprendrai à défaire mes peurs et à me sentir vrai
-----Alors
Tout ne me semblera plus transitoire mais
Là au moment où ça est -
Dans son acceptation et son
----------Dépassement joyeusement envisagé
En écrivant le mot rature, j'ai eu tout à coup un doute, comme s'il n'existait pas, je l'avais oublié...
RépondreSupprimerJ'ai voulu le chercher pour m'assurer de son existence.
Il est bien vivant, en tête.
Et m'a permi votre découverte